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il y a 3 ans
Une rencontre BDSM déclenche de grosses envies
En ce début de printemps, l'après-midi était belle et le soleil brillait sans qu'il fasse trop chaud. Anne déambulait boulevard Saint-Michel sans trop savoir quoi faire de sa journée. Depuis quelques jours, la solitude dans laquelle elle avait tendance à se complaire lui pesait de plus en plus.
Bien sûr sa rupture avec Jean y était pour beaucoup, mais enfin, ce n'était pas la première fois qu'elle se retrouvait seule. Mais voilà, le printemps et la caresse du soleil, à défaut d'autre caresse, l'entraînaient à des rêveries mélancoliques auxquelles elle avait perdu l'habitude de se laisser aller. Perdue dans ses pensées, elle remontait le boulevard tout en se remémorant les quelques jours qui s'était écoulés et qui avait marqué la fin de son aventure avec Jean.
Il était gentil, c'était le moins qu'elle puisse dire. Il était beau aussi, il n'y avait pas de doute, mais indéniablement, il manquait ce petit quelque chose qui fait qu'une relation dure. La veille, alors qu'elle s'était abandonnée à un rêve plus qu'érotique, elle avait compris que c'était finalement leurs relations sexuelles qui avaient manqué cruellement de piment.
Jean baisait sans imagination. Il l'embrassait, lui caressait les seins, la vulve en deux trois coups de paluches et dès qu'il la sentait mouiller un tant soit peu, il la pénétrait. Quelques allers retours plus tard, il éjaculait dans son con en grognant comme un bûcheron. Bien sûr, elle avait aimé cette queue qui la perforait.
Eh oui, il l'avait épaisse et longue et, au début, elle avait apprécié de sentir sa vulve s'ouvrir démesurément à son passage. Peu à peu, elle avait essayé de lui expliquer qu'elle aimait un zeste de sauvagerie dans leurs rapports, qu'il lui malaxe les seins, qu'il lui presse les mamelons, qu'il lui mordille les grandes et petites lèvres ou encore qu'il lui dévore le clitoris de ses lèvres si goulues.
Elle lui avait expliqué qu'elle aurait aimé qu'il lui défonce le cul de toute la longueur de son mandrin presque au point de la déchirer. Mais peine perdue, il lui obéissait un soir, la satisfaisait ainsi qu'elle l'avait souhaité et puis en revenait à la position du missionnaire, se contentant à l'une ou l'autre occasion qu'elle le prenne en bouche. Il ne s'apercevait même pas des efforts qu'elle faisait à le prendre jusqu'au fond de sa gorge jusqu'à s'écarteler les mâchoires et à le boire à grands hoquets lorsque son sperme lui giclait au fond. Leur relation durant, elle s'était peu à peu lassée et n'avait plus insisté se contentant parfois de lui saisir une main et de la poser sur une partie quelconque de son corps l'obligeant à la caresser.
Evidemment, il ignorait qu'elle avait vécu des expériences sexuelles quelque peu troublantes quelques mois avant de le rencontrer et que sa sexualité était probablement durablement perturbée. Elle lui avait en effet toujours caché qu'avant de le connaître elle avait entretenu une relation homosexuelle avec une amie. Par pudeur, il lui avait semblé difficile de lui expliquer cette relation fusionnelle dans laquelle elle avait découvert la joie d'être dominée, le bonheur de jouir, les sens bouleversés par tant de tourments et de caresses.
Elle déambule donc perdue dans ses pensées tristounettes.
Anne, Anne - entend-elle crier dans son dos. Elle s'arrête, elle a reconnu la voix, c'est Sophie. Comment est-ce possible, elle la croyait si loin.
En un instant une bouffée de souvenirs remonte à la surface de sa mémoire. Sophie qu'elle n'avait plus vue depuis près de deux ans et qui était pourtant sa meilleure amie durant toute leur a d o l e s c e n c e . Sophie avec laquelle elle a fait les 400 coups à l'internat. Sophie enfin avec qui elle avait découvert les joies d'une sexualité débridée et exacerbée. D'ailleurs, n'était-ce pas à elle qu'elle pensait l'instant d'avant, à elle, mais aussi à toutes ces expériences, à toutes ces découvertes qui lui avait manqué avec Jean. Sophie s'est levée et continue à l'appeler en agitant les bras à tel point que les badauds se retournent et observent un sourire aux lèvres la scène.
Anne qui s'est enfin décidé à venir vers son amie ne peut que constater qu'elle est toujours aussi jolie sinon plus que lorsqu'elles se sont quittés.
Mince, blonde avec des yeux en amande verts, vêtue d'une longue jupe et d'un chemisier ras du cou et portant pour tout bijou un lourd collier d'argent finement ciseler, elle ne suscite que des regards admiratifs. Anne qui la connaît si bien ne peut retenir un petit haussement de sourcils. Elle-même, se dit-elle, qui s'est habillée à la va-vite, qui n'a même pas pris la peine de se maquiller et qui s'est coiffée à la diable doit paraître bien fade pour le moment.
Elles se retrouvent toutes deux assises à bavarder de tout et de rien comme si le temps s'était arrêté et qu'elles s'étaient perdues de vue la veille. Elles se délectent à se parler de choses futiles, de ces petits riens insignifiants qui font que, même après plusieurs années, on se retrouve avec plaisirs comme si le temps qui passe n'avait été qu'une parenthèse. Tout naturellement la conversation devient plus personnelle. Anne explique son désarroi actuel. Elle parle de sa relation avec Jean, de ce désir qui reste en elle inassouvi. Elle s'avance vers ce terrain délicat qui est celui des confidences et qui veut dire " je suis malheureuse ". Et puis, elle lui rappelle à demi mot leurs étreintes, leurs emportements qui dans un éclair lui paraissent dater de la veille.
Deux ans déjà, Sophie, je t'aimais dit-elle. Sophie, pourquoi nous sommes-nous quittées ? Puis le cri du coeur, Sophie, tu me manques. Cette solitude nouvelle lui trouble quelque peu l'esprit au point qu'elle se laisse aller à des épanchements qui lui sont quelque peu inhabituels. Et, alors qu'elle se revit en parole son passé proche, l'après-midi se déroule. Elle raconte son insatisfaction, ce besoin qu'elle ressent d'être prise en main comme savait si bien le faire Sophie. Elle lui rappelle cette journée d'été ou, lors d'une promenade au fond des bois de Fontainebleau, Sophie l'avait contrainte à se mettre nue, l'avait, au moyen de sa ceinture, attachée, les seins pressés contre un tronc d'arbre, avant de lui battre le cul au s a n g avec une baguette arrachée à un saule.
Quant en plus Sophie lui avait ouvert le cul avec un morceau de bois trouvé sur le sol en l'obligeant au point qu'elle en avait saigné, Anne se rappelait avoir jouit comme jamais. Ses tressautements lui avait aussi écorché les mamelles au point qu'elle en avait gardé les marques durant de nombreuses semaines. Durant tout ce temps elle s'était fait un plaisir d'exhiber ses seins à son amie comme une preuve d'amour. Aussitôt rentrée de sa journée de travail, elle se dénudait le buste et vaquait aux tâches de leur ménage attendant que Sophie, sa petite maîtresse d'alors, lui caresse délicatement ses mamelons blessés en lui susurrant des petits mots doux.
Elle n'avait pas non plus oublié le jour ou Sophie l'avait conduite dans leur cave. Après avoir découpé ses vêtements au cutter, elle l'avait attachée sur le ventre sur un sommier de fer non sans avoir par en dessous étirer ses seins au travers des mailles métalliques. Elle était restée 8 jours ainsi seulement nourrie d'eau et de pâtés pour animaux. Sophie entrait dans la pièce plongée dans l'obscurité et sans un mot lui tirait la tête vers l'arrière tout en lui imposant d'avaler la mixture en lui enfonçant une cuillère de bois dans la bouche.
Pour toute hygiène, elle lui jetait un seau d'eau glacée sur le corps et la frottait avec un gant de crin sans ménagement en s'attardant sur sa vulve qui devint très vite hypersensible à tout attouchement. Lorsque Sophie l'avait libérée, elle avait souffert huit jours durant avant de pouvoir remarcher normalement tellement ses seins et sa vulve était à vif.
Elle sourit à Sophie à l'évocation de tous ces moments qui avaient jalonné la période durant laquelle elles vécurent ensembles. 5 ans de bonheur intense, ou devenue sa soumise elle avait appris à vivre au quotidien la réalisation de leurs fantasmes. Elle avait en tous les cas compris à cette époque qu'il lui serait difficile de vivre une autre relation ce qu'elle avait essayé pourtant avec Jean.
Car après, Sophie lui parle d'elle-même, de cette période ou alors qu'elles se partageaient, elle s'était enfuie tellement leur relation à toutes les deux lui avait fait peur.
Lesbiennes, oui, elle avait aimé, touché, caressé, mordillé, griffé le corps d'Anne. Oui, elle avait étiré ses seins, ses lèvres et son clitoris jusqu'à ce qu'Anne hurle de douleur et enfin de volupté. Oui, elle l'avait amenée à tout ce qu'elle avait demandé, à ce qu'Anne voulait. Sur la fin pourtant elle avait eu de plus en plus de peine à comprendre et à vivre les emportements d'Anne au point que se retrouvant désemparée, elle avait résolu de fuir.
Elle s'était enfuie. Oui Anne, je t'aime encore et toujours...Mais pourquoi diable t'es-tu montrée aussi égoïste, jamais tu ne t'es occupée de moi. Moi aussi j'aurai aimé être à ta place, moi aussi, il m'aurait fallu crocheter les seins ou la vulve. Pourquoi m'avoir délaissée!
Sophie pose sa main sur celle d'Anne et son désir se lit dans les yeux. Sophie à son tour raconte la vie menée après qu'elle soit partie.
Elle avait pris l'un des premiers bateaux en partance se disant que le rythme du navire, sa lenteur, était plus à même de lui permettre de se retrouver. C'est à peine si elle s'était inquiétée de la destination. Un pays lointain ferait l'affaire, un pays exotique ou elle pourrait se ressourcer.
Arrivée à Madagascar, elle avait vécu la galère, vivant de l'un ou l'autre expédiant.
Lors d'une soirée au consulat de France, elle avait rencontré Pierre. Il lui restait l'image d'un moment magique, celui de la rencontre, de ses yeux la scrutant, de son nez la humant, de sa bouche la cherchant, de son odeur l'enveloppant, de sa main se posant sur son sein droit, ça elle ne l'avait pas oublié, et de sa voix qui lui disait viens.
Elle n'avait pas pu résister à cet appel, elle l'avait suivi. Tout de suite, alors qu'il ne lui avait encore rien dit, elle avait su que sa vie avait changé. Instantanément elle avait compris que, pour elle, plus rien ne serait jamais comme avant et comme dans un doux délire elle avait décidé de s'abandonner. Elle n'avait pu et ne pourrait jamais expliquer ce qui s'était passé.
Au cours de cette mémorable soirée, leurs yeux s'étaient croisés pour ne pas se quitter. Au détour de l'une ou l'autre cloison, ils s'étaient retrouvés face à face. Il lui avait longuement parlé et l'avait encore plus longuement écoutée. Elle se souvenait avoir ri comme depuis longtemps cela ne lui était plus arrivé. De fils et aiguilles ils s'étaient retrouvés sur la terrasse de la villa qui faisait face à l'océan. Elle se rappellerait toujours ce moment ou Pierre la fixant lui avait demandé, et elle comprit cela comme une injonction, de le sucer.
Sans manifester la moindre réaction, comme subjuguée, elle s'était laissé tomber sur les genoux, lui avait ouvert la braguette et sorti sa verge. A cet instant l'un et l'autre avaient oublié l'endroit, ne se préoccupant plus de savoir si quelqu'un était susceptible de les trouver sur cette terrasse. Sans qu'un mot soit échangé, elle s'était appliquée à prendre son sexe le plus profondément possible en bouche. Elle aspirait sa queue et laissait glisser ses lèvres quasiment jusqu'au méat qu'elle gratifiait d'un petit coup de langue dure. Il n'avait pas bougé, si ce n'est pour passer sa main de temps à autre dans ses cheveux.
Au moment d'éjaculer, il lui avait saisi les cheveux, avait écrasé son visage contre sa toison et la verge enfoncée au fond de la gorge, s'était vidé en elle. Malgré les hoquets, la suffocation et la douleur de sa gorge, elle s'était imposée de tout avaler. Après, il s'était rhabillé. Il l'avait regardée dans les yeux et l'avait invitée à le rappeler le lendemain chez lui à 18 heures. Il lui avait donné sa carte. Sans autres commentaires, il avait repris leur marivaudage jusqu'à ce que la soirée s'achève. Son aventure avait commencé.
Le lendemain, malgré une journée de travail chargée, elle avait attendu 18 heures avec fébrilité. Au téléphone, il lui avait enjoint de se rendre chez lui à 22 heures précises. Il lui expliqua qu'il souhaitait qu'elle vienne seulement habillée d'une cape et qu'elle soit nue en-dessous. Avant d'annoncer son arrivée il exigeait qu'elle la retire et qu'elle se présente nue, les bras le long du corps, les jambes légèrement écartées, le corps cambré et la bouche entrouverte. Il lui dit qu'il la voulait offerte et qu'ainsi elle soit toujours en sa présence.
Circuler dans Tananarive seulement vêtue de cette cape ne lui posa pas de problème. La nuit était tombée et elle ne risquait pas de rencontrer grand monde.
Lorsqu'elle fut parvenue devant la porte d'entrée de la villa elle frémit de crainte et resta un temps sans oser se dévêtir. La rue n'était guère éloignée et en se retournant elle n'avait guère de peine à voir les passant qui y circulait. Elle se décida, ôta cette cape se disposa ainsi qu'il le lui avait été ordonné et attendit.
Après un temps qui lui parut une éternité, Pierre lui ouvrit la porte la scruta admirant son attitude.
-
C'est bien lui dit-il, mais dorénavant tu baisseras les yeux lorsque tu seras face à moi.
-
Il l'invita à entrer et s'effaça devant elle tandis que sans un mot elle pénétrait dans la maison.
Elle fut étonnée dans un premier temps du silence qui y régnait. Ensuite une multitude d'émotions l'assaillit, sentir le regard de Pierre sur son cul, ses reins, son dos, sentir l'odeur de l'homme, voir cette maison dans sa situation, etc. Il lui dit d'avancer sans se retourner vers la pièce qui se trouvait devant elle et de l'attendre en son milieu.
Peu après, elle le sentit derrière elle. Il lui empaumât les seins et saisissant les tétons entre index et pouces il les tordit jusqu'à ce qu'elle ne puisse retenir des gémissements de douleur. Elle ne tentât à aucun moment de se soustraire. Elle avait déjà choisi d'être à lui, totalement à lui. Elle savait de manière intuitive ce qu'il allait lui demander dans peu de temps, et avait déjà décidé que sa réponse serait affirmative.
Lorsqu'il la lâcha, elle resta sans bouger frémissante, les seins douloureux et déjà la chatte dégoulinante, au seuil du plaisir. Elle ne se souvenait d'avoir ressenti une telle impression qu'en présence d'Annie qui décidément lui avait bien manqué.
Pierre la poussa vers une table sur laquelle il la fit se pencher. Sans autre préparation il lui introduisit sa queue dans la vulve et commença à la limer lentement. Il ressortait le gland jusqu'à effleurer ses grandes lèvres et en puissance poussait sa bite au point que ses couilles venaient lui battre le clitoris.
Elle haletait de plus en plus et ne pouvait s'empêcher de pousser de petits cris en sentant l'orgasme qui peu à peu lui nouait le ventre. Pierre lui saisit à nouveau les seins et commença à les malaxer avec sauvagerie, pressant et étirant les mamelles, les écrasant entre les doigts, tordant les mamelons. Plongée dans un océan de sensations divergentes elle ne put retenir un orgasme puissant qui dans un éclair l'anéantit un bref instant.
Tandis que Pierre qui n'avait toujours pas éjaculé attendait enfoncé au plus profond d'elle, elle resta pantelante à reprendre son souffle. Il se retira de sa vulve et sans qu'un mot ne soit échangé, pressa sa queue sur son anus et d'un seul mouvement le lui imposa. Devant l'imprévu, elle ne put retenir un cri qui se termina en feulement. Elle était habituée à être enculée, mais avait en général besoin d'être quelque peu préparée. La douleur liée à cette pénétration et celle de ces seins que Pierre continuait à étirer en tout sens était intense. Peu à peu pourtant elle sentait son ventre s'alourdir au point de ne plus discerner plaisirs et souffrance. Au moment ou Pierre s'était laissé à jouir dans ses boyaux elle n'avait pu retenir un ultime hurlement tandis qu'un orgasme comme elle n'avait jamais connu ravageait ses sens.
C'est surtout à cet instant qu'elle avait compris combien Anne avait pu être heureuse durant ces 5 ans de vie commune. Elle-même pendant ce temps, en se complaisant dans son rôle de maîtresse n'avait connu que des jouissances bien faibles.
Pierre l'avait laissée telle quelle sur la table pour sans plus s'occuper d'elle aller se servir un verre. Il ne lui proposa rien, affirmant ainsi son emprise. Une chienne attend le bon vouloir de son maître...
Il revint vers elle, lui saisit les bras et lui menotta les mains dans le dos lui maintenant toujours le buste collé à la table. Elle se laissa faire sans réaction, le corps encore frémissant de sa jouissance. Lui écartant les jambes, Il lia ses pieds à ceux de la table ouvrant et offrant son cul et son con. Elle restât ainsi de longues minutes jusqu'à ce qu'une douleur fulgurante lui traversât les fesses à tel point qu'elle cria.
La cravache s'abattait régulièrement marquant ses fesses d'un réseau régulier de marques rouges. La douleur était telle, qu'elle n'était capable de rien d'autre que de crier et de tenter de reprendre son souffle entre chaque coup. Lorsque enfin il s'arrêta, Elle n'était plus que gémissements et pleurs, le corps secoués de s a n g lots. Ses fesses lui faisaient horriblement mal. Il délia ses pieds et la retint avant qu'elle ne s'affaisse à terre et la soutenant vint la fixer le dos contre une croix qu'elle n'avait pas encore vue.
Il commença à lui fouetter les seins au moyen d'un petit fouet court dont les lanières acérées lui déchirèrent la peau.
- Non s'il te plait pas les seins, pitié...
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